Qui sommes-nous ?
Jules-Édouard : L'homme qui doute (et qui l'assume)
Fondateur autoproclamé, Président à vie auto-élu à l'unanimité (bon, j'étais seul dans le bureau), et unique salarié non payé de cette aventure qu'on appelle Moostic.
Autant dire que la hiérarchie est simple : c'est moi, puis personne.
Mon CV ? Un parcours atypique qui ferait pâlir LinkedIn. Chroniqueur de l'absurde le matin, jardinier du dimanche (mes tomates peuvent témoigner de mes échecs), philosophe de balcon l'après-midi, et testeur amateur de remèdes douteux trouvés sur Internet le soir. Spoiler : ça marche rarement.

L'illumination lausannoise
Tout a commencé quand j'étais assistant d'un gourou ayurvédique. Oui, vous avez bien lu. Entre les tisanes miraculeuses et les positions de yoga aux noms imprononçables, j'ai vite compris que la spiritualité de supermarché, c'était pas mon truc. Surtout quand ledit gourou s'est reconverti en plombier à Lausanne. Là, j'ai eu ma révélation : la vérité est souvent planquée sous un tapis plein de poils de chien, pas dans un ashram de pacotille.
La naissance de Moostic
"Le monde va mal. Mais tant qu'il reste du WiFi et un fond de bière, on peut en parler." Cette phrase m'est venue un dimanche pluvieux, devant ma énième série Netflix. J'ai réalisé qu'on avait tous besoin d'un endroit où l'on pouvait enfin dire les choses sans filtre, sans positivité toxique, sans solutions miracles. Un blog où l'imperfection devient un art de vivre.
Ma devise ? "Je doute, donc j'écris." (Et parfois je pète, mais ça c'est humain.)
À quoi sert Moostic exactement ?
Excellente question. Moostic, c'est comme ce pote qui te dit tes quatre vérités mais avec qui tu veux quand même boire une bière après. On ne vous caresse pas dans le sens du poil, on n'est pas un chat, on n'a pas le temps.
Notre mission (si on peut appeler ça comme ça) :
Faire ce que personne n'ose faire : gratter là où ça gratte. Agiter les idées reçues, bousculer les certitudes bien installées et chatouiller l'absurde du quotidien. Ça pique ? Parfait, c'est le but. L'inconfort intellectuel, c'est comme le sport : ça fait mal sur le moment, mais c'est bon pour la santé.
Ici, on parle de tout sans prétention : de nos échecs culinaires aux débats politiques suisses, de nos gadgets technologiques inutiles à nos tentatives sportives pathétiques. Parce qu'au final, la vie c'est ça : une succession d'imperfections qu'on essaie de rendre supportables avec de l'humour.
Le contrat moral
On vous promet trois choses : de l'honnêteté (même quand ça fait mal), de l'humour (même dans l'adversité) et du contenu suisse (parce qu'on aime râler sur nos prix tout en adorant notre petit pays).
En échange, on demande juste votre esprit critique et votre second degré. Et peut-être un like de temps en temps, histoire de nourrir notre ego fragile de blogueur du dimanche.
PS : Si vous cherchez des conseils de développement personnel ou des recettes de smoothies détox, vous vous êtes trompés d'adresse. Ici, on cultive l'art noble de l'échec assumé.